L'Effet de Serre et les activités humaines.                 


Tout le monde connaît, par la multitude des reportages. Je n'y reviendrai pas, mais je vous invite à lire ceci et à y méditer.

Climat : Le mensonge écolo.

Les scientifiques n'ont toujours pas établi la responsabilité humaine dans les changements climatiques.
Pourtant, tout le
monde y croit. Manip ? ( Hervé Ponchelet et Olivier Hertel )

Et si le réchauffement climatique mondial, par la faute de l'effet de serre dû à l'activité industrielle depuis un siècle, n'était
qu'une hypothèse non vérifiée, pis un fantasme plongeant ses racines aux sources de la plus pure tradition malthusienne et eugéniste ?

Dix ans après le Sommet de la Terre de Rio, qui avait accusé les rejets de gaz carbonique par l'industrie de chambouler le climat.
Cinq ans après la conférence de Kyoto où, pour « sauver la Terre », un protocole de réduction des émissions de gaz à effet de serre avait été élaboré, et alors qu'à Johannesburg c'est le développement durable qui tient la vedette, la cause semblait entendue, l'homme, par sa croissance démographique débridée et sa fringale énergétique, met son « berceau cosmique » en danger.

Mais, de plus en plus de chercheurs constatent que, en matière de responsabilité de l'homme dans le réchauffement climatique actuel, rien n'est prouvé. En fait, depuis les années 80, durant lesquelles s'élabore l'hypothèse de l'effet de serre anthropique, nombre d'entre eux n'ont cessé de mettre en garde contre des conclusions hâtives en la matière.
En 1998, Claude
Allègre, alors ministre de la Recherche, qui aime certes provoquer, déclarait au Point : « Il y a une courbe idiote qui voudrait prouver que la température moyenne de la Terre se serait élevée, par la faute de l'homme, de 0,1 degré en cent cinquante ans. C'est complètement absurde ! » (no 1438).
Effectivement, la relation de cause à effet entre CO2 industriel - effet de serre -
et changement climatique n'est toujours pas scientifiquement démontrée.

De son côté comme l'a relevé Jean-François Revel dans son dernier livre l'Académie des sciences américaine faisant le point à la demande de la Maison-Blanche sur les certitudes et les incertitudes du changement climatique a constaté que la science était incapable aujourd'hui de conclure si l'homme était ou n'était pas responsable d'une part de l'évolution du climat mondial.

Difficile de se faire entendre lorsque les faits vont à contre-courant de la pensée écologique unique ! A preuve, la chaîne CNN a conclu que les rapporteurs de l'Académie des sciences étaient unanimes « sur le fait que le réchauffement global est réel », qu'il empire et qu'il est dû à l'homme ! Un message qui a peut-être satisfait le richissime Ted Turner Fondateur de CNN,
il est un fervent défenseur de Lester Brown et de son Worldwatch Institute, qui, chaque année, publie un volumineux rapport « millénariste » aux relents malthusiens et eugénistes sur l'état de la planète. Toujours est-il que ce mensonge répété cent fois devient une vérité.

Un fonds de commerce.

La manipulation des conclusions du rapport par la chaîne globale était tellement grossière que l'un des rédacteurs du
rapport, Richard Lindzen, professeur de météorologie au prestigieux MIT, sortant de sa réserve, fit la mise au point suivante : « Le rapport établit clairement qu'il n'existe pas de consensus, unanime ou autre, sur les tendances à long terme du climat et sur les causes de ces tendances [Je ne peux trop souligner que nous ne sommes pas en mesure d'attribuer les changements climatiques au seul gaz carbonique ou de prévoir ce que sera le climat dans l'avenir. A titre personnel, mais en cohérence avec le travail du groupe d'experts, j'estime que l'application du protocole de Kyoto n'aboutirait pas à une réduction substantielle d'un réchauffement ].

Pour reprendre la raison par le bon bout, comme dirait Rouletabille, il faut lire « L'ingérence écologique Environnement et développement rural du Nord au Sud » Publié en l'an 2000 par les très sérieuses éditions du CNRS, il ne s'agit pas d'un pamphlet comme « L'imposture verte », du journaliste Pierre Kohler (Albin Michel), mais de l'œuvre du géographe Georges Rossi, enseignant-chercheur à l'université Bordeaux-III dans l'unité mixte Regards (CNRS-IRD), il y analyse, en particulier, les mécanismes qui ont fait d'une hypothèse, mobilisatrice et formidablement féconde pour les sciences de la physique de l'atmosphère et du climat, un dogme de l'écologie politique dont le scénario catastrophe est devenu fonds de commerce.

En fait, s'échinent à nous rappeler les climatologues, ce qui caractérise le climat de la planète, c'est sa perpétuelle oscillation entre deux extrêmes : glaciation et surchauffement.
Des cycles vraisemblablement initiés par des causes astronomiques
qui font varier l'ensoleillement, donc le flux d'énergie solaires, « carburant » de la grande machine à vapeur qu'est l'atmosphère.

Cette pichenette énergétique, ce « forçage astronomique », disent les spécialistes, qui contribue pour 10 % à un refroidissement (la chose est inverse lors d'un réchauffement), est relayée par le « forçage des glaciers » de l'hémisphère Nord qui amplifie la tendance dans une plage de 40 %. La monstrueuse calotte antarctique, elle, n'a pratiquement pas varié depuis trente millions d'années, alors qu'en matière de réchauffement global elle en a vu d'autrement plus puissant que celui que nous vivons douillettement depuis onze mille ans.

Des fermes au Groenland.

Quant aux 50 % restants, on estime qu'ils viennent effectivement de l'effet de serre naturel sans lequel la Terre aurait une
température moyenne de - 18 oC, contre + 15 oC aujourd'hui...
Effectivement, comme l'étude physico-chimique de la fameuse
carotte de glace, récupérée en Antarctique à la station soviétique de Vostok, l'a prouvé dans les années 80, la courbe de variation des températures et celle du CO2 évoluent de façon strictement parallèle
D'où la question parfaitement légitime que
se sont posée les chercheurs dès cette époque : si l'homme, en brûlant charbon et pétrole à tire-larigot, injecte dans l'atmosphère du gaz carbonique en plus de celui que la biosphère produit très naturellement depuis que la vie est apparue sur Terre, soit 3,5 milliards d'années, ne va-t-il pas renforcer, à l'excès, l'effet de serre et tournebouler les climats? Depuis, les scientifiques honnêtes s'avouent incapables de répondre à la question, encore moins de dire quel sera le climat de demain, même dans la perspective d'un réchauffement naturel.

En tout cas, à part les imprécateurs intéressés par la manne financière
que le catastrophisme attire, c'est vrai, vers les laboratoires, aucun météorologue n'accepte de faire le lien entre l'hypothétique changement climatique en cours ni avec les fameuses tempêtes de 1999, qui ont ravagé la France, ni avec les grandes inondations de l'Elbe ou la sécheresse en Inde de cet été.

De toute façon, l'humanité, bien avant de transformer les paisibles feux de camp en chaudières à vapeur alimentées par le bois, puis le charbon, puis le pétrole et le gaz naturel, a connu des périodes de chaud-froid.
Aux IXe et Xe siècles, la
périphérie de l'Atlantique nord a bénéficié d'un « petit optimum climatique »
Les températures y étaient de 1,5 à 1,6 oC
supérieures à celles d'aujourd'hui, le sud du Groenland était tempéré, ce qui permit aux Vikings d'Erik le Rouge d'y installer pas moins de 400 fermes et laiteries.
« L'Angleterre était alors suffisamment ensoleillée pour que la vigne y prospère »,
rappelle Georges Rossi.

Au XIVe siècle, patatras, sans que les hommes aient en quoi que ce soit modifié leurs habitudes énergétiques, un « petit âge glaciaire » pétrifie les mêmes régions.
En Europe occidentale, les températures étaient de 2 à 4 oC inférieures à celles
dont nous jouissons aujourd'hui. Ce coup de froid prit fin vers 1860.
Mais, entre-temps, la succession des mauvaises moissons,
dues aux étés froids et humides que subit la France de Louis XVI, entraînèrent le mécontentement populaire et la Révolution française.

L'Histoire nous apprend donc qu'il n'y a pas besoin de l'homme pour faire varier dans de larges proportions le climat, mais aussi qu'un changement climatique n'est pas forcément une mauvaise chose pour tout le monde.
Dans ces conditions, on
comprend mal l'alarmisme, bien peu rigoureux, du GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) En fait, cette émanation de l'Onu comporte deux niveaux.
D'une part, un groupe d'experts, qui pond régulièrement un rapport sur
l'évolution du climat, en tentant d'y discerner l'action de l'homme ; d'autre part, un collège des représentants de tous les pays qui votent, à raison d'une voix par pays, un rapport exécutif.
« C'est ce rapport exécu-tif, document politique et non
scientifique, qui, chaque fois, fait grand bruit dans les médias », constate Georges Rossi.

Une puissante machine, relayée par le Fonds mondial pour la nature sauvage (WWF) et Greenpeace, dont les fondateurs sont dans la mouvance néo- malthusienne.
Un formidable rouleau compresseur capable d'entretenir la peur de l'impact
anthropique global.
« Une peur qui, selon Georges Rossi, a pris la suite de la terreur nucléaire comme instrument de
régulation économique et politique du monde..
Nous imposons aux pays du Sud notre vision de l'avenir. C'est de l'ingérence
écologique, du néocolonialisme »

Pour autant, l'arbre de l'écologisme global ne doit pas cacher la forêt de l'écologie de proximité, dont les problèmes sont, eux, bien réels.
A Madagascar, au Togo, en Guinée, au Vietnam, et maintenant au Rwanda, Georges Rossi a consacré sa vie à
s'efforcer toujours de démêler idées fausses et problèmes effectifs.
Sa conviction : « Pour résoudre ces problèmes, c'est le
développement économique qu'il faut, pas le malthusianisme ».

BEGIN:VCARD VERSION:2.1 N:;jean-jacques_tiscali ORG:Météo-France;Chef  de la Communication TITLE:Ingénieur des Travaux Météorologiques e/r
    
Glaciers de Patagonie méridionale.

Greenpeace a fait très attention à ne pas mentionner des choses qui sont bien
connues des glaciologues, comme le fait que les grands glaciers de Patagonie avancent, tandis que les moyens et petits reculent ou sont en état stable.
Ceux qui conçoivent des fonds en promouvant des campagnes pour Greenpeace seraient tout à fait stupides si ils disaient la vérité, même dans une certaine partie de leurs réclamations.
Personne ne croirait que les glaciers "fondent", comme le déclare Greenpeace, s'ils disaient, par exemple :.

1) "Le glacier d'Upsala a fortement reculé depuis 1978 jusqu'en 1995, mais il semble que la température n'a rien à voir. La dynamique de glacier semble être responsable".

2) ou s'ils disaient "le réchauffement global causera des catastrophes environnementales horribles mais ce ne sont que des prévisions modèlisées automatisées, mais ce ne sont que des prévisions modèlisées automatisées  qui ne peuvent pas même prévoir qui ne peuvent pas même prévoir le temps que nous aurons la semaine prochaine.".

3) ou peut-être "bien que le glacier d'Upsala ait reculé beaucoup, le glacier de Pio XI dans le côté chilien de Patagonia à travers les Andes se développe à un taux étonnant - Dieu merci !".

Avec ces arguments, indiquant la vérité, ils ne gagneraient pas un penny - et nous savons tous que Greenpeace n'est pas dans les affaires environnementales juste pour la protection de l'environnement ou pour "sauver la planète", mais pour la couleur verte de l'argent.
Les Eco-affaires sont de nos jours la mère de toutes les fraudes et Greenpeace est un maître dans cette pratique.

Messieurs chez Greenpeace : Pourquoi l'Upsala recule-t-il, alors que le Pío XI se développe ? Est-ce que le côté chilien s'est refroidi et le côté argentin s'est réchauffé ? Puisque ce réchauffemant que vous proclamez est global ? Ou simplement local .

Pourquoi l'Upsala recule tandis que le Perito Moreno, à juste 50 kilomètres loin garde l'écurie ? Les 50 Kilometres, font ils une grande différence pour votre réchauffage mondial ?

S'il en est ainsi pourquoi le réchauffement dans l'Hémisphère nord affecte les glaciers dans l'Hemisphere Sud ? Ou peut-être fait il plus froid dans Perito Moreno glacier.

Falsification de l’histoire climatique pour « prouver » le réchauffement global.

Extrait d'un article de la revue http://www.revuefusion.com/  Par John Daly

Résumé : En 1995, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) rendait public, à grand renfort de publicité, son rapport quinquennal sur le changement climatique dans lequel apparaissait cette affirmation aujourd’hui tristement célèbre : il existe « une influence discernable de l’homme sur le climat de la planète »
Sans toutefois attirer autant l’attention, ce rapport donnait également une estimation sur la façon dont le climat de la planète avait évolué, non seulement pendant les quatre-vingt quinze années précédentes mais aussi pendant les mille dernières années.

Le graphique présenté dans ce rapport donne les variations de température depuis 900 après J-C.

Ce graphique montre que les températures pendant l’Optimum climatique médiéval étaient plus élevées que celles d’aujourd’hui (comme le suggèrent les quelques vers des Contes de Cantorbéry de Geoffrey Chaucer) alors qu’il faisait beaucoup plus frais pendant le Petit âge glaciaire (comme le suggère John King).
Des faits historiques provenant de toute l’Europe et du Groenland attestent la réalité de ces deux événements et de leur impact profond sur la société humaine. La colonisation du Groenland par les Vikings au début du millénaire, par exemple, ne fut possible que grâce à la chaleur qui régnait à l’époque médiévale.

Pendant le Petit âge glaciaire, ces colonies du Groenland ont disparu tandis qu’à la même période la Tamise gelait souvent, comme en témoignent les multiples « foires de glace » qui se tenaient sur le fleuve gelé.

La datation de l’Optimum médiéval et du Petit âge glaciaire dépend d’une certaine manière de ce que l’on considère comme « chaud » et « froid » par rapport aux températures actuelles.
La datation suivante donne une approximation :

1. Optimum climatique médiéval : 700-1300.

2. Période fraîche (« minimum de Sporer ») : 1300-1500.
3. Court réchauffement climatique : 1500-1560.
4. Petit âge glaciaire (« minimum de Maunder ») : 1560-1830.
5. Courte période plus chaude : 1830-1870.
6. Courte période fraîche : 1870-1910.
7. Période chaude du XXe siècle : 1910-2000.

L’activité variable du Soleil est l’une des causes les plus probables des deux événements climatiques mentionnés plus haut, surtout en ce qui concerne le Petit âge glaciaire.

En effet, nous avons des observations directes du nombre de taches solaires depuis l’an 1600, ce qui nous permet de comparer les variations du Soleil avec celles du climat de la planète.

Quand on observe la variabilité de l’activité solaire de ces quatre derniers siècles, le minimum de Maunder constitue la caractéristique la plus frappante. Il s’agit d’une période de soixante-dix ans pendant laquelle il n’y a eu aucune tache solaire, un peu comme si le Soleil avait « cessé de respirer ».
Cependant, même avant 1640, au début du minimum de Maunder, le cycle était nettement fragmenté et irrégulier par rapport aux cycles réguliers des années postérieures à 1710.
Quand nous comparons cet événement solaire extraordinaire avec les données climatiques de la figure 1, nous constatons que le minimum de Maunder apparaît exactement au même moment que les températures les plus basses du Petit âge glaciaire.

La conclusion est claire : les variations solaires sont la cause du Petit âge glaciaire et, selon toute probabilité, celle de l’Optimum médiéval.
En utilisant des isotopes de carbone 14 comme indicateur de l’activité solaire avant 1600, on a pu mettre en évidence un niveau élevé de l’activité solaire pendant la période médiévale, entraînant la chaleur du climat, et un niveau réduit de Cet exposé de l’histoire climatique contient deux difficultés sérieuses pour la théorie actuelle du réchauffement global’activité solaire pendant une période froide appelée « minimum de Sporer », vers l’an 1350...

1) Si la période de l’Optimum médiéval était plus chaude qu’aujourd’hui sans contribution des gaz à effet de serre,
qu’y aurait-il de si inhabituel que l’époque moderne soit également chaude ?.
.
2) Si les variations solaires ont été la cause à la fois de l’Optimum médiéval et du Petit âge glaciaire.
a plus forte activité solaire du XXe siècle expliquerait-elle en partie si ce n’est en totalité la prétendue chaleur de ce siècle ?.


Ces deux propositions menacent véritablement la croyance du public en la vision catastrophique des modélisateurs du climat, parce que de nouvelles découvertes de la science solaire laissent à penser que c’est le Soleil, et non les gaz à effet de serre, qui détermine les tendances du climat au XXe siècle..

L’idée selon laquelle le Soleil peut modifier notre climat a été renforcée par de nombreuses recherches récentes. Celles-ci montrent que ce ne sont pas seulement les réchauffements et refroidissements cycliques du Soleil (sous la forme d’un cycle de onze ans) qui modifient le climat, mais aussi les variations dans le spectre solaire vers un rayonnement ultraviolet plus important comparé à celui du spectre visible ou de l’infrarouge.
L’augmentation disproportionnée de la partie ultraviolette du spectre du rayonnement solaire, en affectant la couche d’ozone ainsi que d’autres composants atmosphériques, pourrait amplifier un réchauffement.
De plus, des variations récentes de l’activité magnétique du Soleil influencent le rayonnement cosmique atteignant la Terre, ce qui modifie à son tour les basses couches nuageuses et, par conséquent, les températures.

En d’autres termes, les spécialistes du Soleil ont à ce jour identifié trois mécanismes distincts par lesquels notre étoile pourrait réchauffer ou refroidir la Terre.
On pense maintenant qu’ils sont les véritables responsables de l’Optimum médiéval, du Petit âge glaciaire et des tendances climatiques du XXe siècle.

Ces nouvelles découvertes solaires étaient soit ignorées des théoriciens de l’effet de serre, soit considérées avec hostilité, puisque dans ces circonstances les gaz à effet de serre joueraient un rôle insignifiant dans le réchauffement du XXe siècle.

En 1999, un article publié dans les Geographical Research Letters (GRL) a remanié notre vision de l’histoire climatique et comment celle-ci devait être interprétée par les sciences de l’effet de serre.
Cet article était en forte contradiction au défi posé par les spécialistes du Soleil.




Le professeur de Climatologie Marcel Leroux...

...conteste l'idée qu'il existe un climat unifié dont la modification serait principalement due au gaz carbonique émis par les activités humaines.
Dans cette vidéo réalisée par resiliencetv.fr, Marcel Leroux expose, argumente, avec beaucoup de pédagogie et d'exemples amusants.
(La qualité de l'interview n'est pas fameuse, ni l'intervieweur, mais l'intérêt est dans ce que dit M Leroux).

Gaz à Effet de Serre : Un Mythe Planétaire ? Mars 2009

Les glaciers fondent, la Terre se réchauffe, le climat change, la Planète court à la catastrophe, il est urgent d’agir en luttant massivement contre des émissions de CO2, responsables du célèbre « Effet de Serre » !

Cette catastrophe annoncée est devenue une vérité universelle admise par tous les dirigeants de la Planète ! 

Christian Gérondeau, Ingénieur, polytechnicien, qui se définit avant tout comme un esprit rationnel, prétend que ces prévisions alarmistes relèvent d’une mystification planétaire, pire d’une intoxication à l’échelle Mondiale !!

Il reconnait que le gaz carbonique provenant pour l’essentiel de la combustion du pétrole, du gaz naturel et du charbon, représente la grande majorité des gaz à effet de serre d’origine humaine ! 

Les réserves de pétrole, de gaz naturel, et de charbon présentes dans le sol, représentent une centaine d’années de production au rythme actuel, et engendrera le rejet de 4 000 milliards de tonnes de gaz carbonique, auxquels il faut ajouter 500 milliards de tonnes d’origine non énergétique, provenant entre autres de la déforestation, et des activités d’élevage !

« Peut-on raisonnablement imaginer enrayer ce phénomène ? »  s’interroge Christian Gerondeau : « Non » répond-il. Ces énergies jouent un rôle tellement fondamental, qu’il n’est pas possible de s’en passer.

« Lorsque l’on sait que la population du tiers-monde va encore s’accroître, que la majorité de l’humanité se débat aujourd’hui dans la pauvreté, sinon  la misère, et que plus d’un Milliard et demi d’habitants, n’ont pas accès à l’électricité, il faut être inconscient pour demander aux pays émergents de réduire leurs émissions, donc leur consommation d’énergie ! Cela supposerait des conséquences dramatiques pour leurs habitants !" 
 
Conclusion sans concession de Gerondeau :

Toutes les mesures prises pour lutter contre l’effet de serre : L’isolation  des logements,
La taxation des carburants,
Les éoliennes,
Les panneaux solaires,
Les mesures du Grenelle de l’Environnement,
Le protocole de Kyoto,
Les taxes carbones,

Les ampoules basse consommation,

Ne servent à RIEN !    (J’entends hurler les écologistes qui liront ces phrases !)

Mais là où Gérondeau  devient visionnaire c’est quand il dit : La situation est-elle vraiment désespérée ? 

Pas du tout, répond l’auteur, pour qui le réchauffement de la planète qui résulterait des rejets de CO2, relève de la Mystification !
Les prévisions « Apocalyptiques » de l’évolution du climat ne nous donnent que deux informations :
Le niveau de la mer devrait s’élever d’une trentaine de centimètres pendant le siècle à venir, alors que les températures augmenteraient de 2 à 3°C : 

« On nous prédit que des pays seront rayés de la carte, que des centaines de millions de « Réfugiés Climatiques », gagneront les pays développés, que nous subirons famines, sécheresses, inondations, cyclones, chutes de récoltes, vagues de chaleur…

De qui se moque-ton ? »  demande Christian Girondeau !! 

« Nous sommes face à une manipulation planétaire de l’opinion », dénonce l’auteur..

Ce même Christian Gerondeau, avance que des travaux scientifiques réfutent les thèses officielles sur le réchauffement qui estiment que :
« C’est la nature, et non l’activité Humaine qui détermine le climat » 

De nombreux indicateurs, montrent que la période aux alentours de l’an Mil, était beaucoup plus chaude qu’à l’époque actuelle, ce qui explique que le vikings avaient cultivé des céréales et élevé du bétail au Groenland.

Pour ces scientifiques ce seraient les variations de l’activité solaire, bien plus que les gaz à effet de serre, qui seraient responsables du changement climatique. 

Les variations de températures sont chaotiques.
Entre 1945 et 1978, par exemple, la température terrestre baisse légèrement sans que l’on puisse l’expliquer.

Depuis 2000, au contraire, elle est parfaitement stable, alors que les tonnes de gaz carbonique supplémentaires qui s’accumulent dans l’atmosphère devraient provoquer mécaniquement une élévation des températures !

Christian Gerondeau nous livre encore des dizaines d’exemples, que vous retrouverez dans son dernier ouvrage :
« C02, un mythe planétaire », paru aux éditions Toucan !

Pour conclure par ces paroles :

« Quand les Etats auront compris qu’il est vain de chercher à réduire leurs émissions de gaz carbonique pour « sauver la Planète » ils pourront réaliser des économies considérables »
Quand on y pense, si notre Ingénieur Polytechnicien dit VRAI : 

Ce sera la fin des subventions, des détaxes, réductions d’impôts, dotations aux entreprises publiques, et projets de toute nature qui sont aujourd’hui justifiés par la lutte contre les émissions de CO2

En France ce sont des Milliards d’euros qui pourraient être « épargnés » !
Ce qui est loin d’être négligeable en temps de Crise !

Pas facile d’adopter la thèse de Christian Gerondeau, quand on nous serine à longueur de spots télévisés, que, si la Planète est en Danger, nous en sommes TOUS responsables !!

A vous de juger...                                                        Sources Valeurs Actuelles. 


graph

Le réchauffement de la planète provoqué par les activités humaines, hors CO2 :

On ne prend pas beaucoup en compte ce type de réchauffement, mais pourtant je suis persuadé qu'il a forcément un impact sur la température de la planète, et contribuera à réduire l'effet de tout refroidissement comparable à celui des années 1945/80 environ.

Il y a bien sur la déforestation, qui en modifiant l'évaporation réduit le rafraichissement que produit toute évaporation, de plus le soleil réchauffe les sols dégarnis de forêts.
Et bien sur les lacs et mers intérieures qui parfois disparaissent sur de grandes surfaces à cause des activités humaines.

Mais il y a d'autres réchauffements importants que nous produisons de plus en plus.

Prenons 6 milliards d'êtres humains à 37° de température corporelle, cela dégage beaucoup de calories en permanence. Voyez les lieux clos, les pièces petites où très vite la température augmente s'il y a du monde, même chose pour les grands rassemblements en lieux clos. Donc c'est pareil à l'extérieur.
Dans ce style il y a aussi la quantité immense d'animaux d'élevage qui produisent et évacuent aussi les mêmes calories.

Il y a les villes, grosses productrices de chaleur en emprisonnant l'air chauffé par le soleil contre et entre les immeubles, les toits sombres et les sols.
Les milliards d'appartements ou maisons chauffées et qui possèdent en plus de nombreux appareils électro ménagers qui produisent de la chaleur.

Les nombreuses usines, ateliers, centrales électriques, nucléaires, au charbon etc... toute l'activité industrielle.

Les parkings goudronnés et les routes, gros stockeurs de chaleur qui est de plus restituée à l'atmosphère comme le font les radiateurs.

Les milliards de voitures, camions, bus avec leurs moteurs brulants.
Les avions et les bateaux aussi.

Tous les feux et incendies provoqués par l'homme.                                            Et j'en oublie...

Je ne peux pas imaginer que toutes ces calories, cette chaleur accumulée n'aient pas une influence nette sur la température des basses couches, puis de la totalité de la couche atmosphérique sur toute la planète.
Cela a, et aura forcément des conséquences qui entraveront ou réduiront les refroidissements habituels que connaissent la planète.



 
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