22 octobre 2009. Situation du lieu, au dessus de la langue terminale.

La moraine en éboulement à traverser, pour atteindre la zone recherchée, promenade en ces lieux fortement déconseillée.

En dessous du "relatif plat", à remonter jusqu'au rocher.

Zone dénudée, mais qui dans les années 1970/80 était totalement sous la glace, jusqu'aux mélèzes du fond, dont la lisière était ravagée par la glace..

Le glacier au dessus, glace blanche et non recouverte de roches.

Le replat relatif, où des séracs se forment, et dont le bord est recouvert de sables et graviers.

L'épaisseur diminue chaque année, et le glacier se rétrécit beaucoup en largeur.

Ici, gros transport de moraine, qui soit se dépose sur le côté, ou se précipite plus bas dans la cuvette terminale.

On distingue très bien des cordons morainiques formés par les avancées de chaque printemps, suivis du recul de l'été qui laisse en place ces petites moraines.

Bel exemple de cordon morainique.

Un bras du glacier vient butter contre une grosse masse rocheuse qui fait partie du socle, et recouverte de débris de roches.

Comparaison au 11juillet 2011. Le recul continue inexorablement... D'autres photos ici sur le forum.

2012 (comparez par rapport au bloc qui ferme le petit lac)

Cordon morainique de la poussée du printemps.

Ce qu'il reste après le recul du glacier ; pas la moindre trace de cristaux parmi tout ce granit brisé.

La bordure du glacier qui parfois disparait sous sa propre moraine, ce qui le protège partiellement de la fonte dans ces cas là.

Juste avant la descente finale du glacier dans sa cuvette terminale.

Le plongeon...

La cuvette de la langue terminale. Dans les années 1970/80, la glace arrivait au niveau du chalet buvette du glacier, que l'on voit au sommet de la moraine, rive gauche.

Depuis Merlet.


29 octobre 2009. Situation du lieu, au maximum pouvant être atteint, 2200 m.
(Haut de la zone fortement déconseillé, éboulements, chutes de pierres).

En montant, vue sur la grande combe désertée par le glacier, et où la végétation se développe.

Au sommet de la zone accessible, sous le glacier, très exposé. A gauche pas de passage, ravins et dalles.

Le glacier en mouvement, chutes de séracs et de rochers.

Le bord est très défoncé par le mouvement rapide du glacier dans la pente.

La zone médiane du glacier en redescendant.

Cette photo pour montrer les différents cordons morainiques qui montrent les poussées de chaque printemps suivies de l'ablation (recul) de chaque été.

Ici l'avalanche de glace est permanente.

Un superbe et énorme bloc de granit transporté par le glacier, provenant des environs de 4000 m d'altitude, sans doute.

Le bloc de granit arrive bientôt au niveau des crevasses et de la rupture de pente.

Retour en images depuis le haut, pour admirer le travail de ponçage du glacier lorsqu'il était en pleine santé.

On devine à quel point le glacier a un pouvoir abrasif intense.

Le glacier, dont le bord est recouvert de roches. On voit aussi les cordons morainiques récents, puis au fond la cuvette terminale qui débordait largement de glace au Petit âge glaciaire, et pénétrait dans les champs en dessous. Dans les années 1970/80 la cuvette était à moitié remplie en épaisseur, et le glacier allait presque au fond. Actuellement c'est un grand vide...

Un superbe et énorme bloc de granit déposé là par le glacier lors du recul de la fin du petit âge glaciaire après les années 1850. Quand reviendra t'il à ce niveau ??? Un jour, c'est certain, ce sont les grands cycles du climat.

Photos transmises par Thierry Van Hulle, lors de sa montée à la jonction le mercredi 07/07/2010, Photos pour évoquer le sujet de la tache brune. "Au sujet de cette tache brune, elle se produit tous les étés depuis toujours (en tous cas depuis la fin du PAG). Ce plat est le réceptacle des avalanches, et comme toute avalanche lorsqu'elle fond, il ressort à la surface les résidus rocheux sableux ou autres, et c'est cela que l'on voit ici".

A la Jonction






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